
Un crocodile s’en allait à la guerre (2021) d’Antti Tuomainen, 2e tome Série Henri, traduit par Anne Colin du Terrail.
Le résumé de l’éditeur : Même un as du calcul de risque peut se retrouver démuni face à l’imprévu…
Même un as du calcul de risque peut se retrouver démuni face à l’imprévu…
Alors qu’Henri vient tout juste de mettre de l’ordre dans sa vie personnelle et au parc d’aventure que son frère lui a légué, un homme du passé ressurgit, entraînant avec lui son lot de bouleversements. Pour ne rien arranger, son fournisseur refuse de lui vendre, pour d’obscurs prétexte, le Grand Élan supposé devenir l’attraction-phare du parc. Tout cela au moment même où sa relation avec Laura atteint un point de rupture.
S’il veut survivre à ces nouvelles épreuves, Henri le mathématicien devra exécuter ses comptes avec plus de précision que jamais – et pousser chaque calcul jusqu’à l’extrême limite.
2e tome des aventures de Henri, ex mathématicien en assurances devenu par la force du destin, directeur d’un parc d’aventures, Un crocodile s’en allait à la guerre relate de nouvelle péripéties que notre drôle de héros à la vision du monde très pragmatique et cartésien doit solutionner.
Ce retour de personnages qu’on a apprécié, ou non, dans le premier tome, Ce matin, un lapin… permet, dès le début d’être à l’aise avec la situation. L’inconvénient, c’est qu’on perd l’effet de surprise rafraichissant du tome 1 et l’intrigue, sans être une répétition, semble comme du déjà-lu.
De plus, la structure et l’introduction de toutes les petites histoires me paraît pas très bien équilibré. Ou alors, c’est l’intérêt qui m’a paru moindre.
Attention, je n’ai pas eu de déplaisir à lire Un crocodile s’en allait à la guerre et si cette suite me parait un peu en dessous, c’est surtout que le tome 1 fût une sympathique découverte. À ce propos, je me demande ce que vaut le tome 3, une histoire de castor de 18 mètres de haut.
