Prison School d’Akira Hiramoto

Prison School (2011-2018) d’Akira Hiramoto…

Le résumé de l’éditeur: Le lycée Hachimitsu est réputé pour être un des plus sévères du pays. Jusqu’à cette année, il était réservé aux filles, mais les garçons y sont désormais autorisés. Seulement, comme c’est l’année-test, ils ne sont que cinq dans tout l’établissement ! Kiyoshi est l’un d’eux. Il est particulièrement timide mais cherche à discuter avec des filles. Dès le premier jour, il fait connaissance avec Chiyo car la jeune fille est amatrice de sumo, tout comme lui. Mais à peine ont-ils lié amitié que ses quatre camarades garçons décident d’aller espionner les filles aux bains ! Kiyoshi acceptera-il de les accompagner, au risque de perdre la confiance de son amie ?

Alors, Prison school, c’est la série manga qui assume le plus son côté ecchi. L’obsession du sexe en est le thème principal et Akira Hiramoto enchaine les scènes et plans explicites jusqu’à la lie. Et cette histoire de 4 garçons intégrés dans une école de filles, leurs péripéties à tenter de rentrer en contact avec celles-ci est un délice de régression et surtout, du Wtf de classe internationale. Tout est prétexte à l’effeuillage des jeunes filles en question.

Mais regardez-moi le détail sur cette face écrasée !!!

J’ai d’abord découvert Prison school par l’animé et j’ai été surpris que l’humour fonctionne à plein avec moi. J’ai été un très bon client et je me devais de lire le manga. Et l’humour fonctionne aussi sur les pages noires et blanches. La série fait 28 tomes dans lequel Akira Hiramoto ne s’est pas retenu. Difficile  de raconter ce qu’il s’y passe mais, en substance, il y a des tentatives d’évasion, une vice-présidente à la poitrine opulente et la sudation abondante, un obsédé des fesses, un masochiste, des sumos, des corbeaux, une histoire d’amour, un échange de slip, du pipi, un ours, un soutien gorge trop grand, diantre, l’histoire des 3 royaumes, des fourmis, une fusée déchet idole, du sadisme et j’en passe. 

Prison school, c’est surtout de savoir si Kiyoshi va déclarer sa flamme à la douce Chiyo. Le suspense est tenu jusqu’au dernier tome.

Pour parler de son style de dessins, au-delà du côté dénudé, je les trouve très beau dans les mouvements, dans les postures et dans les expressions. Ce n’est pas à négliger.

J’attribue une mention spéciale pour Meiko dont l’étalement de chair est si présent qu’il en devient nauséeux. Akira Hiramoto est vraiment allé très loin dans les cadrages suggestifs et c’est un peu sa marque de fabrique que j’avais remarqué dans Raw Hero

Toujours une science du cadrage parfaite chez Akira Hiramoto
Vous seriez surpris de découvrir comment cette jeune fille en est arrivée là.



Livrepoche.fr Un livre dans une poche. CQFD

N'ayez pas peur de commenter