Ne t’éloigne pas de Harlan Coben…
Le résumé de l’éditeur de poche, ici: Megan est une mère et une épouse modèle, qui cache une sulfureuse jeunesse – une vie excitante qu’elle a dû abandonner 17 ans auparavant.
Ray est un paparazzi qui regrette son statut de photo-reporter et sa gloire d’antan, volatilisés à la suite d’un drame 17 ans auparavant.
Broome est un commissaire obsédé par une vieille affaire : Stewart Greene, disparu à la sortie d’un club d’Atlantic City, 17 ans auparavant.
Une nouvelle disparition – même lieu, mêmes circonstances – et quelques photos anonymes vont venir réveiller les crimes passés et révéler, derrière les blanches palissades, l’envers du rêve américain.
Un brillant thriller placé sous le signe des femmes.
Blaise de Chabalier –Le Figaro littéraire
Parmi les écrivains “addictifs”, Coben est un maître, et son nouveau thriller le prouve.
Julie Malaure –Le Point
Je découvre cet auteur avec Ne t’éloigne pas mais il bénéficie déjà d’un sentiment positif car il est l’auteur de Ne le dis à personne dont je trouve l’histoire fantastique. Je me dis qu’un auteur capable d’écrire ça dois me plaire.
Et comme pas magie (en fait un emprunt à la bibliothèque de ma mère) Ne t’éloigne pas se trouve dans ma PAL, alors, je me suis lancé tout en sachant que ce roman n’est pas son meilleur.
Harlan Coben, c’est un « page turner » , la réputation d’un maître du genre. je ne sais pas du tout où se situe Ne t’éloigne pas dans sa bibliographie mais dès les premières lignes, le fait est indéniable, il nous immerge dans l’histoire avec talent. Peu importe ce qu’il raconte, on veut lire la suite.
Les caractères des personnages sont vraiment bien établis et l’intrigue, même si elle n’est pas des plus angoissantes, reste intéressante car la fin ne m’a pas déçu. Je dois le dire, sans cette chute, je n’aurais pas été aussi optimiste avec cet auteur et j’aurais trouvé le roman un peu faible.
Ne t’éloigne pas est un roman maitrisé et a les défauts de ses qualités. Pas de folie, pas de sortie des rails, c’est un thriller/polar efficace qui convient à un lecteur éclectique mais qui décevra les lecteurs plus exclusifs du genre à mon sens.
Et c’est ce genre de chose qui me fait penser que Harlan Coben est un auteur de talent dont j’ai hâte de découvrir les meilleurs romans.
Livrepoche.fr, un livre, une poche…
Ne le dis à personne, j’en ai vu l’adaptation. Et qu’est ce qu’il est bon!
Pour autant, lire Coben ne me vient pas…
En tout cas, auteur très très populaire à en juger les fans qui se bousculaient pour obtenir un autographe au Festival Quais du Polar il y a, il me semble, 2 ans déjà ^^
Oui, il me semble très populaire! En plus, il bosse pour la télé et passe pas mal dans les médias, ça aide!
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Je n’ai pas du tout aimé ce livre, et seule la fin a un peu sauvé l’affaire…
En fait, les personnages ne m’étaient pas du tout sympathiques et il aurait pu leur arriver à peu près n’importe quoi, ça ne m’aurait fait ni chaud ni froid !
En plus, je l’ai lu en VO, et j’ai sacrément trainé, pas à cause de la compréhension de l’histoire mais parce que ça ne m’intéressait pas tellement au final…
C’est pas le roman du siècle, on est d’accord.
Tu dois avoir un très bon niveau en anglais pour lire en VO. Arrives-tu à diffrencier les style entre les auteurs?
J’ai, à mon souvenir, lu deux Coben. Le premier fut « Faux rebond », acheté dans le cadre d’une promotion « Achetez deux romans de la collection, on vous offre le troisième ». Je n’en ai pas eu un bon souvenir. Pourquoi ? Je ne sais même plus. Tout souvenir du contenu s’est envolé. Pas de traces. Rien. Je sais que je l’ai lu et c’est tout. Je ne serai jamais revenu vers l’auteur me souvenant de « Faux rebond » si je n’avais pas vu l’adaptation cinématographique de « Ne le dis à personne ». J’en avais trouvé le pitch et l’épilogue intéressants et avais souhaité donner une seconde chance à l’auteur. Le roman fut à l’égal du plaisir tiré du film. Il n’en reste pas moi que je suis toujours hésitant à renouveler une troisième fois l’expérience. Comme quoi la première rencontre avec un auteur conditionne toute la suite: on accroche et on poursuit, on n’accroche pas et on hésite quelquefois jusqu’à renoncement.
j’ai lu quelques Coben.. je trouve tjs que c’est bien, mais pareil, qd je referme le livre j’oublie très vite l’histoire 😀
C’est vrai, ça me fait pareil, je ne sais pas comment expliquer ce phénomène.
ce ne sont pas des histoires marquantes… ce sont juste des intrigues bien menées et de l’action.. donc des livres divertissants.
Divertissant est le bon mot. Il est rare d’avoir plus de fond dans un divertissement.