La main d’Oberon (1976) de Roger Zelazny…
Le résumé de l’éditeur de poche, ici: Un péril mortel menace le royaume d’Ambre. Une lèpre noire envahit inexorablement la Marelle, ce labyrinthe magique qui permet aux membres de la famille royale de voyager d’ombre en ombre et de manipuler le temps.
Est-ce le fait d’un des princes qui, avide de pouvoir, n’hésiterait pas à mettre en jeu l’existence même du royaume ?
Faut-il y voir l’intervention des puissances maléfiques qui hantent les Cours du Chaos ? Ou bien la main d’Oberon, le roi disparu dont les princes d’Ambre redoutent jusqu’au souvenir ?
4e tome du Cycle des Princes d’Ambre, La main d’Oberon reprend les ingrédients qu’il y a dans les tomes précédents. Roger Zelazny n’est pas à l’abri de redondances mais celles-ci viennent plutôt affiner les détails de l’univers fou que l’auteur nous avez succinctement dépeint préalablement.
L’univers fou se précise, j’ose le dire, se clarifie sur beaucoup de points. Il demeure l’intrigue familiale, assez colossale dont les réponses ne sont pas toutes données. Heureusement, car il reste encore un tome avant la fin de ce premier cycle.
Sans être un grand fan de cet univers, je prends quand même du plaisir à le lire, encore un peu plus La main d’Oberon qui est bien équilibré entre la SF, les dialogues, le suspens de l’intrigue et l’action.
Peu à même de jauger la qualité d’une traduction, celle-ci ne semble pas à la hauteur de l’oeuvre originale de Roger Zelazny. Un certain flou ressenti en est peut-être la conséquence.
Si l’univers SF est assez dingue, ce sont les personnages principaux, ambiguë à souhait qui maintiennent un intérêt croissant pour cette histoire.
Le Cycle des princes d’Ambres
#6 Les Atouts de la Vengeance
#7 Le sang d’Ambre
#8 Le signe du Chaos
#9 Chevalier des ombres
#10 Prince du Chaos
Livrepoche.fr, un livre, une poche…
Mais c’est que tu t’y tiens à tes séries! Je t’envie pour cette régularité qui n’est pas mienne.
Il y a série et série! Là, c’est une série avec une seule histoire, si je ne vais pas au bout, c’est comme si j’arrêtais un roman au milieu. Pas (rarement) envisageable!