Personne n’est parfait (1977) de Donald Westlake, traduit par Henri Collard…
Le résumé de l’éditeur : Le célèbre avocat J. Radcliffe Stonewiler vient de tirer Dortmunder d’un mauvais pas. Mais, comme le fait judicieusement observer May, sa fidèle compagne : «?qu’est-ce que ça va te coûter???» C’est alors que Dortmunder se souvient de ce petit bristol que l’avocat lui a glissé dans les mains à la fin de l’audience. La carte d’un certain Arnold Chauncey qu’il était censé appeler. De toute façon, pas le temps de se poser des questions?; le téléphone sonne, Stonewiler est au bout du fil, Chauncey attend la visite de Dortmunder. Pourquoi au fait?? Pour commettre un vol, bien sûr. Mais un vol bidon, et pour cela, il faut un voleur honnête. Dortmunder a le profil. C’est le reste qui ne suit pas. Personne n’est parfait.
Encore un tome de plus dans la série John Dortmunder, le 4e, Personne n’est parfait. On change pas une équipe qui gagne. Enfin un peu. Donald Westlake ajoute de nouveaux intervenants, de nouveaux intermédiaire et commanditaires dans les jeux de braquages et de magouilles. Et là, le plan proposé, dès le départ, il sent les problèmes.
John Dortmunder le sait, il a la poisse et cette poisse se matérialise sous la forme de son coreligionnaire, Andy Kelp. Il a beau le savoir, tout joue contre lui mais il se lance tout de même dans l’affaire. Je ne sais pas comment il va pouvoir tenter cette malchance jusqu’au 15e tome.
Si on n’enchaine pas les tomes, on ne peut pas se lasser du style de Donald Westlake qui sait, d’une phrase, extirper le drôle de la situation et des caractères de ses braqueurs à la petite semaine.
Personne n’est parfait n’est pas avare en rebondissements et en situation drolatique. Impossible de se lasser tant on est emporter par des dialogues savoureux à souhaits.
Comme les autres tomes, Personne n’est parfait est un roman ludique et sympathique, pas de ceux qui veulent révolutionner le monde littéraire du genre ,mais de ceux qui veulent détendre et amener le lecteur dans une aventure distrayante.
Rebonsoir, dans la série Dortmunder, j’ai en ai lu au moins 13 sur les 15 et chaque, je me suis beaucoup amusée comme mon ami ta d loi du cine. Bonne soirée.
Pas mal 13/15. Dans l’ordre ? Je ne comprends pas la fin de ton commentaire « comme mon ami ta d loi du cine… »
Chaque avis est de plus en plus convaincant. Aïe aïe aïe.
Oui, il est très bon ce Westlake. Mais je prend le temps de les lire pour éviter l’effet de ressemblance.