L’étranger d’Albert Camus

L’étranger (1942) d’Albert Camus, Prix Nobel de littérature 1957…

Le résumé de l’éditeur: «Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s’est ouverte, c’est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j’ai eue lorsque j’ai constaté que le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n’ai pas regardé du côté de Marie. Je n’en ai pas eu le temps parce que le président m’a dit dans une forme bizarre que j’aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français…»

Je me suis dit qu’il était temps de découvrir Albert Camus, ce français Prix Nobel de Littérature 1957, et quoi de mieux que ce court roman, mondialement connu, L’étranger.

Je vais essayer d’en parler sans prendre en compte sa notoriété et sans connaître ni son contexte ni les études qui lui ont été consacré. Je ne vais pas non plus aller lire ce qui est écrit sur un roman que je n’ai pas aimé. Car oui j’ai pas aimé. 

Et ça commence par un style répétitif qui m’a donné l’impression que la narrateur était un attardé léger ou un enfant. Ce n’est pas le cas, je crois. Albert Camus réussit très bien à nous faire vivre le manque d’intérêt de son personnage principal pour ce qu’il vit, car nous aussi on s’ennuie assez rapidement. 

Je ne vais pas vous spoiler comme le font les préfaces de littérature classique mais je n’ai pas compris l’évènement qui entraine la seconde partie. Le narrateur est tellement vide que cela ne lui ressemble pas.

La peste semble plus unanime concernant les avis mais je ne suis pas pressé de relire Albert Camus car L’étranger m’a clairement refroidi.




Livrepoche.fr Un livre dans une poche. CQFD
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