Gold Finger (2015) de Masakazu Yamaguchi…
Le résumé de l’éditeur: Aucune femme ne résiste aux doigts d’or de Sumeragi Tenzen !
Ère Kansei. À Edo, le shogun Ienari, jeune homme notoirement obsédé sexuel, entretient un harem où les plus jolies femmes du Japon se bousculent dans sa couche. Ienari est loin d’être un amant vigoureux, mais il peut compter sur Tenzen, le préposé aux affaires nuptiales, pour « préparer » les concubines avec ses doigts de fée. Ainsi excitées par Tenzen, les jeunes femmes prennent un plaisir immense auprès du shogun, qui se rêve en étalon hors pair. Mais ce quotidien de débauche agace les plus puritains de ses ministres, qui fomentent un coup d’État…
Après la lecture du très réussi Tokyo Confidential, un manga ecchi au scénario plus riche qu’il n’y paraît, je voulais retenter le style et Golg Finger ressemblait énormément. Je ne connaissais pas Masakazu Yamaguchi et j’ai pu voir les différences. Différences pas en faveur de Gold Finger.
En effet, ça commence par un style de dessin comme moins jovial et plus sérieux. Cela ne colle pas avec cette histoire prétexte qui ne tient pas très bien la longueur. je crois n’avoir pas très bien suivi ce qu’il s’y passait.
Je ne vais pas noter le nom de cet auteur car je ne crois pas y avoir trouver ni le 2e degré que je cherche dans ce genre là, ni une esthétique qui me séduit.
