Freaks’ Squeele (2008-2015) de Florent Maudoux…
Le résumé de l’éditeur: Une université pour apprendre à gérer son image et obtenir son permis de super-héros : il fallait y penser ! Trois nouvelles recrues de la Faculté des Etudes Académiques des Héros vont découvrir les joies de la vie universitaire, la concurrence sans pitié entre étudiants, les professeurs sadiques et le stress des examens. Frais, original et drôle : Freaks’ Squeele s’approprie le style comics pour en transgresser les codes, sans concession ni complexes.
1. Étrange université
Comment j’en suis venu à découvrir Freak’s squeele sur le tard ? Et Florent Maudoux par la même occasion ? C’est bien simple. Quand est sorti en cette fin d’année 2023, le tome 1 de Clovd avec des couvertures qui claquaient sérieusement, Clovd que j’ai lu et je me suis retrouvé avec ce personnage déjà apparu avant, le fameux Funérailles qu’on rencontre effectivement dans Freak’s squeele, notamment dans le tome 2.
Avec ce tome 1, L’étrange université, je découvre cet univers de magie et de héros dans lequel des apprentis héros issus d’un monde fantasy et apprennent leurs futures vocations. Une fois qu’on comprends les codes de ce monde, on est land dans cette intrigue souvent drôle.
Le style de Florent Maudoux se complet dans un monde étrange fait de toutes sortes d’êtres et il s’accomplie pleinement avec la couleur ou les teintes s’harmonisent parfaitement.
À suivre…
2. Les Chevaliers qui ne font plus « Ni »
Avec ce 2e tome, on approfondit un peu plus les personnages qu’on a apprit à connaitre et à aimer dans le tome précédent. L’univers de Freak’s squeele s’approfondit dans sa fantasy et pourtant, je ne vois pas encore bien l’enjeu global de la série. Ce 2e tome, Les Chevaliers qui ne font plus « ni » peaufine les tensions inter personnages et continue l’introduction du monde développé par Florent Maudoux.
De toutes façons, on sent que cette équipe du Label 619 est nourrie de comics et du divertissement à l’américaine et parfois, seul le plaisir compte, sans chercher trop loin.
Pour le style, c’est toujours un régal. Son trait est mouvement ce qui donne des planches très vivantes, avec toujours, sur l’édition que je lis, un passage de planches en couleurs très réussies.
Petit plus, je ne l’avais pas vu dans le tome 1 s’il y était, mais on découvre Funérailles, le personnages que j’ai découvert dans Clovd.
À suivre…
