LA CHUTE D’HYPÉRION 1 DE DAN SIMMONS

La chute d'Hypérion 1 de dan Simmons par Livrepoche.fr

La chute d’Hypérion 1 de Dan Simmons…

J’ai mis beaucoup plus de temps que d’habitude à lire cette première partie de La chute d’Hypérion 1 et cela a eu pour conséquence de me distancer un peu plus du roman et d’en réduire l’intérêt.

Le résumé de l’éditeur de poche, iciL’Hégémonie gouverne plus de trois cents mondes. Les Extros ont pris le large après l’Hégire mais un de leurs essaims, depuis trois cent ans, se rapproche d’Hypérion.
L’ouverture des Tombeaux du temps est proche. L’Hégémonie envoie sept pèlerins sur la planète. 
Drôles de pèlerins ! Celui-ci n’arrive pas à se débarraser d’un parasite de résurrection ; celui-là écrit un poème qui, selon lui, infléchira le cours des événements. Deux d’entre eux veulent tuer le gritche ; un autre hésite à lui sacrifier sa propre fille, qui naîtra dans trois jours. Et le dernier semble trahir tout le monde, ce qui étrangement ne trouble personne…

Mais Dan Simmons parvient à me faire revenir dans le sujet et faire croître la tension jusque’ à la fin (1er partie). Cette fin, bien qu’attendue, reste néanmoins très excitante car elle ouvre les portes vers la suite et elle conclue pour moi une sorte de grosse première partie du Cycle d’Hypérion. Cette grosse intro du pèlerinage dont on connaissait déjà plus ou moins le point de bascule, la naissance/mort de Rachel.

Là où l’excitation prend tout son sens, c’est qu’on se retrouve désormais dans l’incapacité d’anticiper les évènements à venir. Dan Simmons décrit une aventure novatrice qui se distille sur plusieurs plans très riches (temporel, géographique, perceptif, etc…) et pour l’instant pas clairement reliés les uns aux autres.

Et les questions ne trouvent pas encore de réponses. Quel est le sens de ce Gritche fantasmagorique ? Quelle issue pour les terriens dans la guerre contre les « extros »? Et plein d’autres encore…

Les tombeaux du temps sont ouverts désormais et tout peut se produire !

Livrepoche.fr, un livre, une poche…

N'ayez pas peur de commenter