Auletris d’Anaïs Nin, traduit par Marie Dupin…
Le résumé de l’éditeur : Auletris contient deux histoires inédites d’Anaïs Nin, des textes érotiques retrouvés à la faveur d’une vente aux enchères à Baltimore et traduits pour la première fois en français.
Écrits pour un mystérieux collectionneur au début des années 40, ils possèdent toute l’originalité et le charme de l’érotisme selon Anaïs Nin: une vision féminine de la sexualité, libre, inventive et transgressive.
Ayant déjà un spectre de lecture assez large, je ne m’étais pas rendu compte que je boudais un genre en particulier, celui qu’on lit en cachette, pas trop fier, celui de la littérature érotique. Ce n’est pas que je suis gêné mais plutôt que l’idée ne m’était pas venue. Je m’étais essayé à Sade (avec plaisir) et Anne Rice aussi (un certain plaisir également) puis, il me souvient d’avoir détesté Oeuvres érotiques d’Apollinaire. Cela m’avait peut-être refroidi. Anais Nin, le nom sonne bien et je tente Auletris.
Je ne suis pas certain de ma lancer dans les romans fleuves de série B, type 50 nuances… ou After mais il me semble que je devrais trouver quelques textes de qualité dans le lot racoleur du genre. Auletris me semble en faire partie. C’est d’ailleurs par son style très littéraire que ces 2 histoires m’ont marqué. Quand je lis qu’Anais Nin et Henry Miller eurent une relation, je ne suis pas surpris de cette liberté. Même si je me demande bien comment une femme censée et intelligente peut aimer et vivre avec un homme aussi coureur. En tous les cas, le talent littéraire les rapproches.
Tu fais bien de mentionner les romans de séries B du style de 50 nuances, parce que c est aussi typiquement le genre de lectures pour lesquelles j éviterai de perdre mon temps, tellement elles ont l air plates et vides !
Je me dis la même chose et j’espère qu’il y a une certaine forme de qualité dans cette littérature.