Bourbon Kid (2017) d’Anonyme, traduit par Cindy Colin-Kapen, 7e tome de la série Bourbon Kid…
Le résumé de l’éditeur: Imaginez que vous décidiez un jour de percer le secret des Dead Hunters, impitoyable confrérie de justiciers sanguinaires installés dans le Cimetière du Diable. Et, pendant que vous y êtes, d’éliminer le serial killer le plus insaisissable de tous les temps : le Bourbon Kid.
Peut-être y réfléchiriez-vous à deux fois.
Lui, non.
Son nom est Caïn.
Et c’est avec une allégresse presque contagieuse qu’il va s’atteler à la tâche.
On lui souhaite bien du courage.
Je me demandais comment tout ce petit monde de fou-furieux allait évoluer au milieu de la foultitude de monstres, méchants et voila que débarque les 4 chevaliers de l’apocalypse guidé par un Caïn volatile sacrément diabolique. Si on ajoute des amish qui vénèrent l’évangile de Suzanne, on a un tableau qui promet.
La série Bourbon Kid poursuit son oeuvre de fantasy barbare avec une vraie cohérence et un vraie fil conducteur plus flagrant avec ce 7e tome. Le Bourbon Kid lui-même, figure christique iconoclaste. J’ai pris un plaisir certain à lire ce nouvel opus malgré un humour qui va trop souvent vers le scatologique ou le sexuel idiot. Cela n m’avait pas fait cet effet avec les précédents. J’ai quand même rit. Je dois être bête parfois.
Je lirais la suite, bien évidement, car j’aime énormément ces héros non conventionnels si rares dans le paysage de la fantasy. On ne sait pas de quoi ils sont capables vu qu’ils sont capables de tout et surtout, du pire.
