Seins et Œufs (2007) de Mieko Kawakami, traduit par Patrick Honnoré, Prix Akutagawa 2007…
Le résumé de l’éditeur: À quarante ans, Makiko est envahie par l’obsession de se faire refaire les seins, une lubie que sa fille de douze ans ne supporte absolument pas. Conflits mère-fille, vertiges de la puberté, les choses prennent un tour très compliqué quand l’adolescente se mure dans le silence.
Toujours plus déterminée dans ses choix, Makiko décide de rejoindre sa soeur à Tokyo ; de dix ans sa cadette, Natsu est célibataire, et c’est dans son minuscule appartement que mère et fille vont lui imposer leurs problèmes.
Je me suis dit que Seins et Œufs, ce petit roman de Mieko Kawakami pourrait convenir à mes vacances. La couverture à un je-ne-sais-quoi d’étrange et perturbant qui ajoute à ma curiosité naturelle envers les lettres japonaises.
Seins et Œufs, c’est un récit de femmes qui m’est tellement éloigné, tant par la géographie que par le genre et c’est peut-être pour cela je ne suis pas entrer en phase avec les 3 protagonistes féminines. Je ne sais pas si une lectrice y trouvera plus d’écho mais Seins et Œufs m’a laissé dans un état assez neutre, sinon les bizarreries de certains comportements. Et oui, il y a des oeufs dans l’histoire.
Je ne vois pas bien quoi dire de ce roman de Mieko Kawakami sinon que j’ai quand même senti une certaine originalité chez cette autrice, une certaine touche qui la démarque. Mais je suis pas un spécialiste de littérature japonaise.