Tout ce qui reste de nous (2021) de Rosemary Valero O’Connell…
Le résumé de l’éditeur : Trois histoires de science-fiction ou de « speculative fiction » qui racontent la perte, le sentiment de fin, l’importance des souvenirs, dans des mondes crépusculaires ou en danger de mort. Voyage dans une autre dimension, accident d’un vaisseau spatial, fable sur la fin d’un monde, ces récits particulièrement émouvants proposent une approche spirituelle des questionnements actuels sur le progrès et la fin du monde, et les conséquences sur nos sentiments.
Avec une telle couverture, il était certain que ma curiosité soit attisée. Je ne connais pas son autrice Rosemary Valero O’Connell. Ni cette BD/Roman graphique, Tout ce qui reste de nous. La promesse d’une oeuvre psychédélique est tenue mais, forcement, avec le psychédélique, la logique et le compréhensif sont un peu en retrait.
Comme je ne lis pas les résumés, pas celui-là en tous cas, je n’ai pas compris qu’il y avait 3 nouvelles. Je vous dis pas ma perplexité en passant de l’une à l’autre en croyant que c’était juste des chapitres. C’est après coup seulement, que j’ai pu compartimenter Tout ce qui reste de nous et analyser les thématiques aborder par Rosemary Valero O’Connell.
Pour le coup, il n’y a que la 1re nouvelle qui m’a bien plu (ce que j’en ai compris). L’univers déployé par Rosemary Valero O’Connell est tellement inhabituel que cela en vaut le coup. Mais le vrai point positif, ce n’est pas le scénario, ce sont les dessins. Le style est élégant, charmant avec un je-ne-sais-quoi de manga (kawaï). Les teintes sont harmonieuses et le monde de Tout ce qui reste de nous, totalement décalé nous place sur un fil d’(in)compréhension intéressant. J’ai plutôt cette état de doute perceptif.
Pour vous, quelles sont vos références psychédélique ?